Quatrième de couvertureCher lecteur, J'espère pour toi que tu n'as pas choisi ce livre en te disant : "Ça a l'air drôle; je vais me régaler !" Si tel est le cas, un conseil : remets-le en place, et vite. Car, de tous les épisodes désolants de la triste vie des orphelins Baudelaire, celui-ci pourrait bien pulvériser les records de tristesse et de désolation. Violette, Klaus et Prunille se retrouvent à la palette, où leur nouveau tuteur est le patron de la scierie Fleurbon-Laubaine, et derrière chaque bûche (ou presque) est embusquée une calamité. À titre d'exemple, dans ces pages, ils vont avoir affaire à une pinceuse géante, à d'abominables casseroles, à de la fumée de cigare qui parle, à un mystérieux cas d'hypnose, à des kilos de chewing-gums et à des bons de réduction. J'ai fait serment, pour ma part, de relater jusqu'au bout les misères endurées par ces trois enfants, mais ce serment n'engage que moi. De ton côté, cher lecteur, si tu préfères les histoires moins sombres, libre à toi de choisir quelque chose de plus réjouissant. Avec mes sentiments respectueux, | AboutTitre VO : The Miserable Mill Titre VF : Cauchemar à la scierie Auteur : Lemony Snicket (Daniel Handler) Éditeur : Harper Collins Première édition : 2000 Genre : Aventure, Jeunesse Pages : 195 |
Mon avis
Je pourrais presque copier ici l’avis des précédents tomes tellement ils sont tous pareils. J’avoue que rendu au quatrième je ne sais plus trop quoi dire à part me répéter sur le fait que l’histoire est identique aux autres tomes, que les personnages sont égaux à eux-mêmes, que j’ai encore beaucoup ri des blagues et du sens de l’humour de Snicket et que le sort des orphelins me désole.
La seule différence est que, contrairement aux autres tomes, j’ai trouvé celui-ci un peu long, l’histoire un peu moins intéressante. Est-ce parce que l’histoire se répète encore et que ça commence à être lassant? Je vais pouvoir vous dire ça avec le prochain tome.